Élus “Carquefou demain”
AGIR POUR AMELIORER LA VIE QUOTIDIENNE DES CARQUEFOLIENS
Chères Carquefoliennes, chers Carquefoliens,
Vous avez été nombreux à nous interpeller au sujet des travaux de voirie en cours sur le boulevard des Européens et à nous faire part de vos difficultés de circulation, particulièrement en début et fin de journée. Un temps de trajet fortement affecté et des problématiques ont pu être observés, compliquant la vie quotidienne des usagers de cet axe.
Nous ne remettons pas en cause la nécessité de réaliser ces travaux, dans la perspective d’améliorer les transports en commun et les déplacements doux, grâce notamment à la création d’un couloir de bus central sur une voie très empruntée. Cependant, nous pensons qu’il est bien de la responsabilité des collectivités de tenter de remédier aux difficultés rencontrées par les habitants et ce dans les meilleurs délais.
Nous soutenons notamment la gratuité du péage de Vieilleville situé sur notre commune, au moins partiellement, de manière négociée avec les parties prenantes. Cette décision ne permettrait pas de régler entièrement le problème, mais elle contribuerait sans nul doute à fluidifier le trafic et à améliorer le quotidien des Carquefoliens durant les travaux. Nous sommes convaincus que des marges de manœuvre existent et nous avons sollicité un rendez-vous avec les personnes compétentes de la Métropole à ce sujet.
Nous avons conscience du coût que cela pourrait représenter. Néanmoins il nous parait prioritaire que la question soit posée et que celle du financement soit étudiée. La qualité de vie de nombreux Carquefoliens est affectée par ces travaux et il est normal qu’ils se tournent vers la Mairie et la Métropole pour obtenir des solutions. De plus, les habitants de Carquefou ne sont pas les seuls concernés. La situation touche également, entre autres, des habitants de la métropole travaillant dans notre commune.
Nous restons à votre écoute.
J Perrochat, G Audrain-Demey, N Cocaud, F Daubrée
elus.carquefoudemain@gmail.com
Élus “Carquefou à Gauche”
Lors des conseils municipaux, dans le « Carquefou Mag » on entend ou on lit souvent cette phrase : les oppositions critiquent, la majorité agit.
Pourtant, nous avons multiplié les propositions alternatives, argumenté pour faire évoluer les projets pour finalement ne constater que le mépris, des réponses parcellaires au mieux, sans argumentations convaincantes.
Nous pourrions si nous disposions d’un espace plus grand, tel un inventaire à la Prévert, établir la liste exhaustive de ces propositions.
Nous allons en résumer quelques-unes, issues de nos articles précédents :
Soutenir les comités de jumelage existants et réfléchir à un nouveau partenariat.
Refonte des conventions avec les associations, soutenir des engagements solidaires au bénéfice de tous.
Débat sur la politique enfant/jeunesse, favoriser des solutions non lucratives.
Meilleure information des élus, création d’une structure de dialogue permanente avec les associations.
Relance des rencontres internationales du dessin de presse abandonné en 2015. Pourquoi pas en concertation avec les communes environnantes ?
Une politique du logement permettant à tous, de se loger dignement et ne pas s’éloigner du lieu de travail, sans oublier nos concitoyens âgés.
Réflexion sur les investissements à envisager (moratoire sur le bassin nordique, remplacement du gymnase Jean GAUVRIT)
Agir pour faire face aux difficultés d’accès aux professions de santé sur la commune et dans la métropole.
Débattre des enjeux départementaux qui concernent Carquefou. Nous avions ainsi échangé avec le président du département, à propos du collège, des logements pour tous et de la pollution de l’Erdre.
Certes, nous sommes des élus d’opposition. Oui, nous sommes en désaccord avec les orientations de la majorité parce que nous les trouvons en décalage avec notre vision d’une commune ouverte, solidaire. Mais le suffrage universel nous rend aussi légitimes que les élus de la majorité.
F. BEAUPERIN R.TESSIER – carquefouagauche@gmail.com
Élus “Vivons Carquefou, la parole a du sens”
Un dimanche à Carquefou, cela pourrait être le titre d’un triste film.
J’ai eu de la famille à l’improviste, en rentrant de vacances. Mon frigidaire était vide. Je regarde les marchés proches de Carquefou, ouverts le dimanche. Je décide d’aller sur la Chapelle sur Erdre. Je suis agréablement surprise. Des personnes font la queue pour les exposants présents, du monde profite des terrasses, une boulangerie est ouverte, une rôtisserie dégageant une bonne odeur de poulets grillés. Mon repas de dimanche est sauvé. En revenant, je suis passée par Carquefou bourg. Le constat n’est pas le même, les rues sont vides.
Carquefou avec plus de 20 000 habitants « dorment » le week-end et restent chez eux. Il faut être courageux pour affronter le parvis de l’église venteux.
Je peux vous assurer qu’avec un peu de volonté, les week-ends carquefoliens seraient plus animés.
Petit à petit, Carquefou devient une cité dortoir. Dortoir pour les populations dites « nomades » qui s’installent aux portes de Carquefou, elles occupent les espaces publics entre les voies rapides, les voies de contournements, à nous de payer l’eau et l’électricité ainsi que les barges de dépôts d’ordure. Il y aura bientôt une notation avec des étoiles pour ces bidons villes insalubres :(
Mais rassurez-vous, Carquefou garde les labels 4 fleurs et ville plus sportive avec l’investissement « casse du siècle » le centre aquatique a plus de 22 millions d’euros dont seuls les carquefoliens paieront les factures :
- Investissement
- Remboursement de la dette
- Entretien
- Les charges du personnel.
Je remercie les Carquefoliens pour les échanges sur leur quotidien, leurs préoccupations, je porterai tous les sujets lors des commissions et Conseils Municipaux.
Vivons Carquefou, la parole a du sens. CP : la Mairie de Carquefou.
vivonscarquefou2020@gmail.com FB : Karine Bonfils, Vivons Carquefou
Élus “Carquefou Autrement”
Bidonvilles à Carquefou : et si on en parlait ?
Sur le terrain auprès des habitants comme sur les réseaux sociaux, la multiplication des bidonvilles à Carquefou est un sujet récurrent qui fait débat. La question des bidonvilles soulève les passions. Environ 3 000 personnes issues de la communauté Rom vivent en métropole nantaise. A Carquefou, le sujet est tabou.
Il faut en convenir : la situation est complexe. Au-delà de la responsabilité de l’Etat, les bidonvilles posent des enjeux de salubrité (accès à l’eau potable, électricité), d’environnement (gestion des déchets, nuisances sonores etc.) et de sécurité. A cela s’ajoutent les modalités d’insertion sociale (scolarisation des enfants, habitat) et professionnelle.
Ces camps soulèvent aussi des questions morales : pour certains, c’est l’égalité face à la loi (occupation illégale par exemple) et d’autres, la fraternité face à des conditions de vie difficile, l’un n’empêchant pas l’autre.
Une chose est sûre : l’immobilisme ne fait qu’accroître l’exaspération des carquefoliens, notamment chez les riverains. La réalité vient se heurter aux discours creux : la fameuse « humanité et fermeté ». Où sont-elles ? Quel est le projet à Carquefou ?
Certaines communes de la Métropole, de gauche comme de droite, ont décidé de prêter attention aux bidonvilles. Terrain d’insertion temporaire contre participation financière, proposition d’habitat en dur, limitation du nombre d’occupants pour éviter la concentration de la misère, expulsion systématique, répartition sur l’ensemble de la Métropole etc.
Depuis maintenant 10 ans, le statu quo est privilégié à Carquefou : ne pas en parler et renvoyer la balle au préfet, à la Métropole et aux tribunaux. Finalement, personne ne sort satisfait de la situation. Et si, enfin, on en parlait vraiment à Carquefou ?
Fidèlement,
Jéromine DA PRAT
Pour me contacter ou prendre rendez-vous, écrivez à carquefouautrement@gmail.com ou par courrier à l’Hôtel de Ville
Élus de la Majorité
Investir pour la sobriété énergétique et le confort des usagers
La majorité municipale poursuit la déclinaison de son programme et investit pour l’avenir. Deux projets d’envergure, qui touchent la vie quotidienne des Carquefoliens se concrétisent en ce début d’année 2024 : la rénovation de la salle de la Désirade accompagnée de l’aménagement des espaces extérieurs et la restructuration de notre médiathèque. Les travaux pour la première commencent ce printemps et pour la seconde, c’est le projet d’aménagement par le cabinet Atelier Rubin qui a été retenu, pour un démarrage des travaux prévu au printemps 2025.
Dans les deux cas, la volonté des élus de la Majorité est d’offrir aux usagers (et aux agents municipaux) un meilleur confort tout en mettant en œuvre un plan de rénovation énergétique fondé sur la sobriété. Concernant la médiathèque, pour laquelle un investissement de 3,8 millions d’euros hors taxes est prévu, la sobriété se décline selon plusieurs aspects. L’espace tout d’abord ; l’idée est de ne pas en consommer de manière irraisonnée. Au contraire, la transformation des coursives actuelles permettra d’augmenter de près de 50% la surface d’accueil du public sans s’étendre sur les espaces extérieurs. Sur le plan énergétique ensuite, l’objectif est de diminuer les consommations de 60% par rapport à l’année 2019. Pour cela, pas de climatisation mais une ventilation naturelle, une chaudière bois pour remplacer l’ancienne au gaz, des panneaux photovoltaïques, de nouvelles huisseries, des murs pleins… Enfin, des espaces végétalisés vont venir compléter ceux déjà existants, avec la désimperméabilisation des abords de la médiathèque pour l’inscrire harmonieusement dans son environnement.
En attendant l’ouverture programmée pour décembre 2026, rendez-vous est donné aux amoureux des livres et de la culture, aux Renaudières où se poursuivra l’accueil du public à partir de cet été !
Les élus de la majorité
